Après les différents évènements des gilets jaunes ces derniers mois, toutes les personnalités politiques veulent se rallier à leur causes ou les appeler dans leur rang (liste) pour gagner en popularité. En effet, on en parle partout dans les média et les réseaux sociaux. Cela représente une aubaine pour les politicien en mal de popularité pour espérer gagner plus de votes.
Les gilets jaunes : mouvement populaire spontané et non politique un parti politique
C’est un mouvement qui s’est déclaré pour la première fois le 21 octobre 2018 par l’évocation de la pétition dans la presse.
Mais c’est un mouvement qui n’a pas encore une structure bien établie. C’est ce qui attire les grosses têtes politique. L’idée est alléchante, vu que la manipulation sera facile, une fois que la fusion sera effectuée.
Pourtant le mouvement est fort de ses 287 710 manifestant enregistrés rien qu’en novembre 2018 selon le ministère de l’intérieur. Et cela n’a pas cessé d’augmenté depuis.
Leurs revendications :
Leurs revendications concernent surtout l’allègement des pressions insupportables causées par la politique fiscale, l’amélioration des niveaux de vie des classes populaires et des classes moyennes, la réclamation d’un référendum d’initiative citoyenne, la démission d’Emmanuel Macron.
Les gilets jaunes : des parfaits tremplin politiques pour la gauche et de redoutables trouble-fête pour la droite.
Ce mouvement a pris énormément d’ampleur en France, en Europe et même dans le monde. Ce mouvement né spontanément des ras-le-bol de la classe populaire et moyenne a même fait un tabac.
La personnalité politique reconnaisse la puissance naissante de ce mouvement. Et la possibilité de gagner aux élections grâce à leur influence leur fait saliver. C’est le cas par exemple de Florian Philippot et de Marine le Pen.
Des personnalités et des partis politiques n’hésitent pas à déclarer une parenté dans leur revendication et leurs objectifs politiques.
Le Rassemblement National de Marine le Pen affirme par exemple par l’intermédiaire de son délégué national que de nombreuses revendications des gilets jaunes faisaient déjà partie des engagements de campagne de Marine le Pen en 2017.
En résumé, on enregistre aujourd’hui plusieurs dizaines de ralliements aux gilets jaunes. Ce mouvement qui n’est pas encore structuré saura-t-il résister à la tentation des politiques politiciennes et de garder son cap qui est celle d’une revendication pure et désintéressées des places politiques ? Bien de mouvements populaires se sont tus à cause des opportunistes et des arrivistes politiques qui ont tout fait pour les étouffer une fois qu’ils ont eu une place.